L'agence de notation a annoncé ce vendredi soir avoir maintenu la note de la dette française à « AA- ». La perspective est toutefois abaissée à « négative », signe qu'une dégradation est possible dans le (...)
Le projet de loi de finances 2025 prévoit de réduire de 35 % le budget de l'Ademe. Or l'agence de la transition écologique soutient notamment les projets des collectivités locales et des entreprises dans (...)
Maintenant que le gouvernement leur a donné le top départ, syndicats et patronat doivent aboutir d'ici à mi-novembre sur les négociations assurance-chômage et emploi des seniors qui sont liées. Si le (...)
Les syndicats et le patronat doivent déterminer le niveau de revalorisation des retraites complémentaires Agirc-Arrco en novembre. Par défaut, elles doivent évoluer moins vite que l'inflation mais les (...)
La ministre de la Transition écologique et de l'Energie, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé vendredi qu'elle allait intégrer au projet de loi de finances une « hausse de la fiscalité sur le gaz ». En (...)
Le projet de loi de finances dévoilé par le gouvernement comprend un taux « plancher » d'imposition, fixé à 20 %, pour les foyers à très hauts revenus. Selon la documentation budgétaire, il ne touchera (...)
Le nouveau ministre de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, a fait transmettre ce vendredi aux syndicats un projet d'agenda social. Dix thèmes sont énumérés. Les discussions s'annoncent tendues au vu de certaines propositions.
La stratégie pluriannuelle des financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale (Spafte) doit être rendue publique ce vendredi et fera l'objet d'un débat à l'Assemblée nationale. Ce sera une première.
Les crédits du ministère baisseront de 2,4 milliards l'an prochain. La moitié de l'effort viendra du passage de 6.000 à 4.500 euros de la prime à l'embauche des apprentis, même si le ministère assure que rien n'est figé.
La prévision de croissance de 1,1 % retenue par Bercy pour l'an prochain est jugée un peu élevée par une partie des économistes. Ils estiment que l'impact du plan de redressement sur l'activité est minoré par le gouvernement.